Dépoussiérages : post-scriptum
En extrayant un volume de l'étagère à BD pour le relire, j'ai eu la grande surprise de retrouver un dessin que je pensais perdu corps et bien depuis deux ans : l'illustration du chapitre XIII du Pays du Mi-Chemin, l'histoire du voyage Intermédiaire de Laurina II dont je vous parlais il y a peu. Ce dessin miraculé me paraît témoigner de la propension inconsidérée qu'ont certaines personnes, dans ma famille, à ranger des choses dont on pourrait avoir encore besoin, comme des BD servant d'appui pour dessiner devant la télé, par exemple - avec les dégâts collatéraux que nous venons de constater.
Bref, ce dessin n'a jamais été terminé, et il est sans doute trop tard pour qu'il puisse espérer l'être un jour. A deux ans de distance, il me paraît farci de défauts en tous genres - les seuls éléments qui me paraissent à peu près corrects sont le monstre au milieu de l'image et Ariella, la jeune fille qui hurle en bas à gauche dans les bras de Sacha Castelli. A part ça, en bas à droite, vous reconnaîtrez peut-être la fille de notre hôte, Laétitia, dans un état de choc auquel Erwan, qui fait de son mieux pour la consoler, ne peut pas grand-chose. Contre le mur, à gauche, vous avez évidemment la noble et intrépide héroïne, Laurina en personne, avec sur l'épaule son carame-guide Nino ; et, tenant la torche, Liano Zuliya, la mystérieuse aventurière dont nos voyageurs suivent, plus ou moins sans le savoir, les pas, fait sa première et presque unique apparition en direct devant leurs yeux.
Tout ceci me donne, ma foi, assez envie de me replonger dans ce récit (mais il va de soi que si je reprends le chapitre XIII (intitulé, si mes souvenirs sont bons, "la pierre et le feu"), je recommencerai l'illustration à vélo. Euh, à zéro, excusez-moi, petit accès de dyslexie dactylographique.
Post-scriptum du post-scriptum : si vous avez remarqué que cette histoire comporte un Nino et un Sacha, vous savez à présent d'où viennent les noms de mes deux minets...
Bref, ce dessin n'a jamais été terminé, et il est sans doute trop tard pour qu'il puisse espérer l'être un jour. A deux ans de distance, il me paraît farci de défauts en tous genres - les seuls éléments qui me paraissent à peu près corrects sont le monstre au milieu de l'image et Ariella, la jeune fille qui hurle en bas à gauche dans les bras de Sacha Castelli. A part ça, en bas à droite, vous reconnaîtrez peut-être la fille de notre hôte, Laétitia, dans un état de choc auquel Erwan, qui fait de son mieux pour la consoler, ne peut pas grand-chose. Contre le mur, à gauche, vous avez évidemment la noble et intrépide héroïne, Laurina en personne, avec sur l'épaule son carame-guide Nino ; et, tenant la torche, Liano Zuliya, la mystérieuse aventurière dont nos voyageurs suivent, plus ou moins sans le savoir, les pas, fait sa première et presque unique apparition en direct devant leurs yeux.
Tout ceci me donne, ma foi, assez envie de me replonger dans ce récit (mais il va de soi que si je reprends le chapitre XIII (intitulé, si mes souvenirs sont bons, "la pierre et le feu"), je recommencerai l'illustration à vélo. Euh, à zéro, excusez-moi, petit accès de dyslexie dactylographique.
Post-scriptum du post-scriptum : si vous avez remarqué que cette histoire comporte un Nino et un Sacha, vous savez à présent d'où viennent les noms de mes deux minets...