Recyclage
Toujours à la recherche d'un support pour continuer mon apprentissage de la couleur, je me suis dit que ça ne serait pas mal de redonner une nouvelle vie à un vieux dessin.
J'ai repris l'illustration du Chapitre 4 de la deuxième partie de Carami, parce que c'était la seule que j'avais déjà dans mon ordinateur (toutes mes autres illustrations sont en otage chez mon Lecteur Officiel et même que je m'inquiète un peu à leur sujet depuis qu'il a déménagé mais passons). Si je me souviens bien, c'est une de celles où j'ai passé le plus de temps, et la seule pour laquelle j'en sois venue à employer les Grands Moyens (pour moi, sont Grands Moyens tout ce qui dépasse le critérium ; en l'occurrence, un bout de fusain qui traînait pour noircir plus vite et une jolie Estompe Tortillon qui s'est effectivement retrouvée toute noire en moins de temps qu'il ne faut pour le dire).
Voici donc cette illustration, redressée - enfin, autant que possible quand les verticales ne sont pas perpendiculaires aux horizontales, c'était avant que je ne m'achète une équerre - et mise en couleur - enfin, si on peut appeler ça de la couleur.
Pour information, il s'agit de la scène centrale du chapitre et d'une des scènes clés de tout le roman : la rencontre entre ce cher vieux tyran Carlino et sa mère adoptive la Reine des Océans. Je vous rassure, ils ne vont pas essayer de se jeter dans les bras l'un de l'autre.
J'ai repris l'illustration du Chapitre 4 de la deuxième partie de Carami, parce que c'était la seule que j'avais déjà dans mon ordinateur (toutes mes autres illustrations sont en otage chez mon Lecteur Officiel et même que je m'inquiète un peu à leur sujet depuis qu'il a déménagé mais passons). Si je me souviens bien, c'est une de celles où j'ai passé le plus de temps, et la seule pour laquelle j'en sois venue à employer les Grands Moyens (pour moi, sont Grands Moyens tout ce qui dépasse le critérium ; en l'occurrence, un bout de fusain qui traînait pour noircir plus vite et une jolie Estompe Tortillon qui s'est effectivement retrouvée toute noire en moins de temps qu'il ne faut pour le dire).
Voici donc cette illustration, redressée - enfin, autant que possible quand les verticales ne sont pas perpendiculaires aux horizontales, c'était avant que je ne m'achète une équerre - et mise en couleur - enfin, si on peut appeler ça de la couleur.
Pour information, il s'agit de la scène centrale du chapitre et d'une des scènes clés de tout le roman : la rencontre entre ce cher vieux tyran Carlino et sa mère adoptive la Reine des Océans. Je vous rassure, ils ne vont pas essayer de se jeter dans les bras l'un de l'autre.